Ensemble Retropolis
Io me son uno che per le frasche, Codex Faenza ms 117, f. 77-78
Involta d'un bel velo, Codex Rossi ms 215, f. 7
Hildegarde von Bingen, O virtus Sapientiae
Paulus Matthysz, La Boivinette (issue de Der Gooden Fluyt-Heme)
Je prens plaisir en une dame, Codex franco-chypriote J.II.9, f. 104v
Estampie Isabella, London Add 29987, f. 57v-58
Jacob Van Eyck, Pavane Lacryme (issue de Der Fluyten Lust-hof)
Hildegarde von Bingen, Karitas
Hont paur, Codex Faenza ms 117, f. 37-37v
Mein Herz in hohen Freuden ist, Lochamer Liederbuch/Buxheimer Orgelbuch
Au XIe siècle, le moine italien Guido d'Arezzo attribua à chaque articulation de la face palmaire de la main une note particulière, concevant ainsi la "main guidonienne". Lorsque les musiciens ultérieurs voulurent élargir l'échelle ainsi proposée, ils ajoutèrent une note supplémentaire dans le grave, à laquelle ils attribuèrent une position à l'arrière du pouce : la note dite "retropolis" était née.
En adoptant ce nom, l'Ensemble Retropolis souhaite signifier et son attachement aux musiques médiévales et sa volonté d'élargissement, tant à la diversité des disciplines artistiques qu'à celle des publics.
Né en 2019 de l'alliance de trois musiciens qui se sont rencontrés au Centre de Musique Ancienne de la Haute École de Musique de Genève, l'Ensemble se consacre à l'interprétation des musiques du Moyen-Âge et de la Renaissance, abordant le répertoire tant profane que sacré au sein de programmes thématiques variés.
Cet été, en collaboration avec la Haute école de musique de Genève - HEM, des matinées musicales sont proposées au TO, en compagnie de jeunes musiciens et musiciennes professionnel·le·s, en petite formation. Musique classique, mais aussi contemporaine ou populaire, ponctueront vos cafés et brunchs du samedi ou du dimanche matin.